NOTRE HISTOIRE
En mars 1996, à Marseille, trois comédiens – Sam Khebizi, Hervé Lavigne et Xavier Laurent – crééent Les Têtes de l’Art.
En parallèle de la production de spectacles, Les Têtes de l’Art se lancent dans l’organisation de classes et séjours artistiques autour d’un petit réseau d’artistes. Il s’agit de faire partager aux enfants des moments exceptionnels, leur donner confiance, ouvrir leurs horizons. Pendant les premières années, l’activité reste modeste, les ambitions encore un peu floues.
En 2001, l’association s’installe au Comptoir Toussaint-Victorine dans le quartier de Saint-Mauront et accélère le développement de son réseau et de son activité. Nous lançons nos premiers projets sur sites et animations en réseau, soutenus rapidement par la Politique de la Ville. Le développement de nos activités se heurte alors à la difficulté d’une organisation majoritairement portée par le bénévolat. À partir de 2006, une réflexion collective nourrie d’expertises extérieures fait émerger une organisation et un projet associatif mieux définis qui soulignent nos particularités. Nous constituons une équipe de permanents autour de Sam Khebizi qui devient le directeur de l’association. Nous clarifions nos activités en créant un pôle mutualisation et accompagnement aux côtés du pôle projets participatifs. Dotée d’une structure solide et d’un projet clair, notre association entre dans une belle phase de développement.
Depuis 2012, notre association est en pleine maturité. Chaque année, plusieurs milliers de participants et près d’une centaine d’artistes et d’opérateurs culturels participent aux projets que nous initions ou accompagnons. La quasi-totalité des partenaires locaux reconnaissent la qualité et la singularité de notre action.
Aujourd’hui, notre ambition est de consolider notre action dans l’art participatif afin de contribuer à l’amélioration du vivre ensemble ; d’accompagner toujours mieux nos adhérents dans leur projets à travers le conseil et la mutualisation des moyens techniques ; de participer plus activement à l’évolution des politiques culturelles au niveau local comme national, voire international ; et de relever le défi d’être un révélateur d’optimisme auprès de l’ensemble de nos adhérents, publics et partenaires.






